Est ce que le vécu de l’acouphène et de l’hyperacousie par une personne psychologiquement saine, engendre un modus operandi nécessaire et indispensable pour continuer à fonctionner avec le moins de gêne possible (hypothèse émotionnelle) et est ce que les conduites d’évitement et les tentatives de sur protection de l’oreille ne sont pas la conclusion inévitable d’une orientation médicale non spécialisée et imprudente.
Article : L’hyperacousie, un symptôme banal du patient désafférenté
Publié par Tio
Mon audition présente une sensibilité auditive (hyperacousie) et des acouphènes permanents depuis 2019, suite à des multiples surexpositions sonores (travaux/musique amplifiée) puis une sortie de trop en boite de nuit. Mes seuils de douleurs auditives sont remontés en quelques mois, puis mes symptômes se sont aggravés suite à une exposition mal protégé en soirée musicale amplifiée début 2018. La rechute plus douloureuse et beaucoup plus difficile m'a décidé de récapituler les recherches existantes sur l'hyperacousie afin de mieux comprendre mon hypersensibilité auditive (douleurs vers 60db à l'époque) et mes aggravations d'acouphènes. Ces recherches m'ont aidé à mieux comprendre les fluctuations d'acouphènes qui font suites à chaque exposition et mieux vivre avec les douleurs auditives et les otalgies qui sont aussi dépendantes des expositions sonores, pourtant modérées. Mes seuils sont remontés vers 100db aujourd'hui mais les écoutes prolongées de plusieurs dizaines de minutes au delà de 80db restent difficiles car elles amplifient temporairement mes symptômes. Voir tous les articles par Tio
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